vendredi 14 décembre 2007
La REGULARIDAD Mas:.
Numerosos autores han tratado de redefinir la "regularidad" y la "clandestinidad" Mas:., de los cuales podemos citar:
Haffner (Regularity of Origin, p. 119) : Un Mas:. clandestino es un supuesto miembro de una organización que no mantiene relaciones con la Mas:.. Un ejemplo seria un miembro de las triadas chinas, otro ejemplo seria un miembro de organización "Mas:." que no poseyera los 3 grado Universales, y en particular la exaltación del tercer grado según la leyenda correspondiente. Según Haffner, los Mas:. nunca deberían considerar a estos miembros como HH:.. RW Christopher Haffner ha sido Diputado G:.M:. de Hong-Kong et de Extremo Oriente para la G:.L:.U:. de Inglaterra y Past-Master de la Primera Log:. de investigación "Quator Coronati N° 2076" en Londres.
1. Cada Gr:.Log:. debe ser reconocida por al menos 3 GGr:.LLog:. RReg:.
2. Basar su creencia en el G:.A:.D:.U:.
3. Todos los Iniciados deben jurar sus obligaciones sobre el V:.L:.S:. abierto y a la vista de todos
4. Todos los miembros de la Gr:.Log:. y de las LLog:. que la componen deben ser hombres, y ninguna de estas LLog:. debe entretener relaciones con LLog:. Mixtas o alguna organización que admita mujeres.
6. Las 3 luces de la Mas:. deberán ser exhibidas cuando las LLog:. trabajen.
7. Todo tema relacionado con la política y la religión están estrictamente prohibidos en Log:.
8. Los Landmarks y nuestros usos y costumbres en Log:. deberán ser estrictamente respetados.
Toda Log:. que respete y cumpla estos requisitos será reconocida por la G:.L:.U:.I:., así mismo, basándose en estos criterios esta Ob:.puede dejar de reconocer como regular una Gr:.Log:., como ocurrió con el G:.O:.F en 1874, la cual había suprimido, simple y sencillamente, la creencia en el G:.A:.D:.U:. de su constitución.
Hemos visto lo que en teoría es la regularidad, pero que nos muestran los hechos en la actualidad? Numerosas OOb:. Europeas y Francesas, perfectamente regulares según los principios descritos con anterioridad, no han sido reconocidas por la G:.L:.U:.I:., tal es el caso de la G:.L:.D:.F:.. Así mismo, la G:.L:.U:.I:. reconoce OOb:. irregulares como la Eastern Star, organización paramasónica. Por ejemplo, en Francia cohabitan OOb:. regulares y otras llamadas "liberales". En el primer caso vimos que condiciones son las que las hacen que las LLog:. sean acreedoras de esta regularidad, en el segundo caso las razones que las excluyen de la regularidad pueden ser únicas como múltiples. En 2005 se han enumerado 20 OOb:. en Francia, de las cuales 9 son regulares:
1. G:.L:.N:.F:. : Grande Loge Nationale Française
2. G:.P:.D:.G:. : Grand Prieuré des Gaulles
3. G:.L:.T:.M:.M:. : Grande Loge Traditionnelle de Memphis Misraim
4. G:.P:.D:.N:.F:. : Grand Prieuré de Nouvelle France
5. G:.L:.F:. : Grande Loge de France
6. G:.L:.T:.S:.O:. : Grande Loge Traditionnelle et Symbolique Opéra
7. D:.N:.L:.U:.R:. : Directoire National des Loges Unies et Rectifiées
8. G:.L:.R:.F:. : Grande Loge Rectifiées de France
9. L:.N:.F:. : Loge Nationale Française
Así mismo, el concepto de regularidad es paralelo a las tendencias políticas en Francia. El G:.O:.F:. , Ob:. liberal, tiende a reunir miembros de centro-izquierda; esta misma obediencia ha apoyado el desarrollo de LLog:. mixtas y femeninas, y fue unos de los pilares para el establecimiento de la IVE (aborto). La G:.L:.N:.F:. reúne, en su mayoría, miembros de centro-derecha y/o conservadores. Como podemos ver, la noción de regularidad va más allá de nuestros sacro-santos Landmarks. Estas OOb:. liberales están compuestas de LLog:. que practican la casi totalidad de los ritos existentes en la Mas:., de los cuales et R:.E:.A:.A:., siendo este el mas practicado alrededor del mundo.
Mi experiencia me ha demostrado que numerosas LLog:. de OOb:. liberales tienen un comportamiento mucho mas Frat:. y Reg:. que otras que ostentan pomposamente su Reg:. sin siquiera comprender la esencia de este termino. En este tiempo de crisis en la Or:. , nuestros Landmarks siguen siendo nuestros mejores puntos de referencia. No nos obstinemos a querer """modernizar""" la Or:. a cambio de perder su identidad profunda y ancestral.
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Libellés : regularidad, regularité
dimanche 9 décembre 2007
Qu'est devenue l'Arche d'Alliance ?

La piste éthiopienne
Il existe une ancienne tradition venant d'Afrique, selon laquelle l'Arche d'Alliance serait conservée en Ethiopie [1][2]. Dans cette version, l'Arche aurait été volée à Salomon à la suite de la visite à Jérusalem de la reine de Saba, supposée être venue d'Ethiopie. Les deux souverains auraient eu un fils, le prince Ménélik, qui serait retourné plus tard à Jérusalem pour dérober l'Arche. Aujourd'hui, la ville éthiopienne d'Aksoum possède encore une chapelle considérée comme abritant le fameux objet ; construit à côté de l'église orthodoxe Sainte-Marie, ce sanctuaire renfermant l'Arche éthiopienne est interdit d'accès et placé sous la surveillance permanente d'un gardien. La ville d'Aksoum comprend aussi les ruines d'un palais attribué à la reine de Saba. Ce scénario a des racines littéraires non bibliques. Il est valable si l'on assimile le royaume de Saba à l'Ethiopie, hypothèse aujourd'hui en concurrence avec la découverte des vestiges d'un antique "royaume de Sheba" au Yemen (voir article). La tradition éthiopienne reste cependant très attachée aux sources culturelles de cette version.

(image : http://exodus2006.com)
La piste égyptienne
La piste du mont Nébo
Il existe pourtant un passage de la Bible qui donne des indications explicites sur le destin de l'objet. Dans le second Livre des Machabées, il est précisé que l'Arche fut sortie du Temple par le prophète Jérémie, pour être transportée et mise à l'abri dans une caverne secrète sous la montagne où mourut Moïse (2 Macchabées 2, 4-8). Peu de temps après le transfert, Jérusalem fut prise par les Babyloniens (vers 598 av. J-C), et ses habitants furent déportés à Babylone. Le Temple fut pillé, et les objets liturgiques furent emportés à Babylone (2 Rois 25, 13-15). Là non plus, l'Arche n'est pas citée dans le butin ; ce qui est logique dans la mesure où elle se trouvait déjà à l'abri. En outre, tous les objets pillés seront rapatriés plus tard, lorsque l'exil des Hébreux prendra fin.

Une reproduction classique de l'Arche d'Alliance, inspirée de la Bible.
(image : http://ebibleteacher.com)
C'est en se fondant sur ces considérations qu'en 1931, un explorateur américain du nom d'Antonia Futterer alla prospecter autour du mont Nébo [3]. Contre toute attente, il déclara à son retour avoir trouvé une galerie souterraine, qui se terminait par une porte murée, sur laquelle était gravée une inscription en hébreu signifiant : "Ici repose l'Arche dorée"... Mais l'explorateur fut empêché de poursuivre ses recherches. Quelques cinquante ans plus tard, un autre explorateur, Tom Crotser, prit la suite de cette recherche. Sous le mont Pisga tout proche du mont Nebo, Crotser découvrit effectivement un tunnel menant à un mur gravé de quelques signes, tels que son prédécesseur les avait décrits. Il creusa alors le passage, traversa le mur, et pénétra dans une crypte de forme cubique. Cette salle contenait un coffre de métal doré, recouvert d'une bâche. l'objet ressemblait fort à l'Arche tant recherchée... L'explorateur prit des photos, et de retour il les montra à quelques personnes, et en particulier à un archéologue éminent, Siegfried Horn. En observant minutieusement les clichés de l'Arche, le spécialiste reconnut une plaque de cuivre et un clou manifestement usinés avec des machines modernes. En conclusion, il fallut bien admettre que ce coffre était un faux de confection récente.
La piste du Golgotha
La véritable Arche d'Alliance a cependant continué à faire l'objet de recherches. Il existe encore une autre tradition ancienne selon laquelle l'Arche aurait effectivement été enterrée par Jérémie, non pas sous le mont Nébo, mais à Jérusalem-même. Partant de cette idée, des explorateurs ont également fouillé dans la ville sainte. Le récit suivant est plus surprenant encore que les précédents. Qu'il soit véridique ou non, il mérite d'être rapporté car il tient du merveilleux [5][6][7][8][9].
En 1978, l'archéologue américain Ron Wyatt se rendit à Jérusalem où il s'interrogeait à propos de la tombe de Jésus-Christ. Au cours d'un entretien sur le terrain, il eut une intuition, et suggéra que l'Arche d'Alliance pouvait être enfouie dans une caverne sous la colline du Golgotha, lieu où Jésus fut crucifié. Peu après, Wyatt se convainquit qu'elle s'y trouvait réellement, et se sentit investi de la mission de la retrouver. Ayant obtenu du Département des Antiquités d'Israël l'autorisation de fouiller, il se rendit alors proximité de la colline du Golgotha, et inspecta longuement les alentours, et en particulier le pied de la colline. Commença alors une longue campagne de fouilles, impliquant le dégagement de grandes quantités de gravats. Au cours de cette longue prospection, il retrouva le sol vierge du Golgotha et le trou taillé où fut peut-être plantée la croix du Christ (voir article). Mais ce que Ron Wyatt recherchait, c'était l'Arche d'Alliance. Il continua donc à fouiller à proximité, et le 6 février 1982, il finit par déceler un passage souterrain naturel très étroit, où il se glissa en rampant avec difficulté.
Ron Wyatt en compagnie de Dan Bahat, responsable du service des Antiquités de Jérusalem. (image : http://www.wyattmuseum.com) | ![]() Ron Wyatt et un coéquipier pénètrent dans le conduit. (image : http://www.wyattmuseum.com) |
Ron Wyatt suivit péniblement la galerie naturelle qui se prolongeait, et déboucha sur une assez large cavité encombrée de pierres. Balayant l'obscurité avec le faisceau de sa lampe torche, il aperçut un objet réfléchissant comme du métal doré. S'approchant de cet espace, il reconnut alors divers objets de culte. Il distingua aussi une imposante cuve de pierre, surmontée d'un couvercle entrouvert. Ron Wyatt pensa que l'Arche d'Alliance pouvait se trouver à l'intérieur. Le couvercle était cependant trop proche du plafond pour permettre une vision du contenu. Malgré la très mauvaise accessibilité, s'étant équipé de caméras montées sur des perches, Wyatt réussira à visualiser le contenu de la cuve. N'en croyant pas ses yeux, il put constater que l'Arche d'Alliance était bel et bien présente. L'objet avait l'aspect d'un coffre plaqué or, surmonté de deux statuettes de chérubins ...

L'archéologue très impressionné ressortit du lieu exploré, et informa quelques personnes de son incroyable vision. Il en rendit compte auprès des autorités israéliennes, qui lui demandèrent alors d'observer la plus grande discrétion. Ron Wyatt fut néanmoins autorisé à poursuivre l'exploration. Il retourna de nombreuses fois dans la grotte. Wyatt fit l'inventaire du mobilier liturgique, et reconnut plusieurs objets évoqués dans l'Ecriture : le chandelier à sept branches, la table des pains de proposition, l'autel des parfums, une grande épée, et divers autres objets. Plus étonnant encore, il trouva dans un compartiment latéral du coffre, des textes inscrits sur des peaux de mouton, qu'il examina sur place et identifia comme étant plusieurs des livres de la Bible : l'Exode, le Deutéronome, les Nombres, le Lévitique. Wyatt pensa que ces documents étaient d'époque, et qu'il pourrait même s'agir des manuscrits originaux du Pentateuque, écrits de la main de Moïse.
Sur le couvercle partiellement ouvert du coffre de pierre, Ron Wyatt remarqua une étrange substance sombre, qui paraissait avoir coulé du plafond et être tombée sur l'Arche. Juste au-dessus, une fissure était visible dans le plafond de la caverne. Wyatt devait vérifier plus tard qu'elle se prolongeait jusqu'au Golgotha. Un prélèvement de la substance noire fut effectué. Ron Wyatt fit analyser cette poudre en laboratoire. L'examen au microscope donna un résultat ahurissant. Cette matière était du sang humain déshydraté. Son étude génétique fit ressortir une composition absolument inimaginable pour un biologiste. Le sang ne contenait que 24 chromosomes, et non pas 46 ; 23 d'entre eux étaient de type X, et un seul de type Y. Ce résultat, inconcevable pour un être humain normal, pourrait suggérer que ce sang serait celui du Christ, car il ne proviendrait que d'une femme (la Vierge Marie), donneuse des chromosomes X, auxquels ne s'ajouterait qu'un seul chromosome masculin (Y), qui serait d'origine divine.
Vision au microscope du sang trouvé par Ron Wyatt.
(image : http://www.wyattmuseum.com)
Reconstitution imagée montrant le sang du Christ s'infiltrant jusqu'à l'Arche d'Alliance. (image : http://users.netconnect.com.au/~leedas) | ![]() Représentation de l'Arche d'Alliance, faite à partir d'une description de Ron Wyatt. (image : http://users.netconnect.com.au/~leedas) |
Dans son exploration de la chambre souterraine, Ron Wyatt trouva à l'intérieur de l'Arche les deux tables de la Loi. Elles étaient écrites en araméen, sur le recto et le verso. Il prit de très nombreuses photographies de tous les objets ; mais au développement les nombreux clichés ne montrèrent que des images brouillées.

Elle aurait dû montrer l'un des deux chérubins et le couvercle.
Etant donné l'étroitesse de la galerie empruntée par Ron Wyatt, il est évident que l'Arche d'Alliance fut jadis introduite par un autre chemin. Wyatt se mit donc à la recherche de l'accès initial. Au fond de la grotte, il distingua effectivement un large passage scellé, totalement fermé par de très gros blocs rocheux, qu'il était impossible de dégager. Ron Wyatt en conclut qu'il serait plus judicieux de rechercher l'entrée principale depuis l'extérieur.
L'accès provisoire par la fissure naturelle ne constituant pas un itinéraire commode, il a été décidé de le condamner, ce qui assurerait du même coup la sécurité de son précieux contenu. L'entrée utilisée par l'archéologue a donc été entièrement rebouchée, et rendue totalement invisible. Cependant, le programme des fouilles ne s'arrête heureusement pas là. Le nouvel objectif visé est désormais de mettre au jour l'accès original du tunnel. Mais où chercher ? Plusieurs possibilités ont été envisagées, puis explorées, mais sans grand succès.
Ron Wyatt est mort en 1999. Il n'a pas réussi à trouver l'entrée du tunnel. Après sa mort, les travaux ont repris sous la direction de la fondation WAR (Wyatt Archeological Research). Ils ont essentiellement consisté à explorer depuis la surface une ancienne voûte maçonnée, enfouie sous un soubassement de mur. En 2003, un creusement a été entrepris, mais dans des conditions de risques d'effondrement importants. Les travaux ont été suspendus, pour permettre une meilleure sécurisation, puis ont repris en été 2005.
Peu avant son décès, Ron Wyatt a accordé sur son lit de mort une interview au "World Net Daily", dans laquelle il maintient ses affirmations à propos de l'Arche d'Alliance. Pourtant, même aujourd'hui, son histoire est encore très peu connue. Ron Wyatt était convaincu que l'Arche devait rester cachée. En fait, il s'est produit des incidents avec d'autres personnes. Un groupe d'amateurs s'étant introduits frauduleusement dans le passage naturel, ont failli être enterrés vivants. Il semble que pratiquement personne n'ait osé publier cette découverte, sans doute par crainte des implications qu'elle pourrait avoir si elle s'avérait véridique.
Aux dernières nouvelles (avril 2007), les membres de la Wyatt Archaeological Research ont préféré retirer de leur site Internet le détail du récit de la découverte. En effet les dernières explorations ne semblant pas confirmer totalement le récit de Wyatt, leur contenu n'est plus rendu public en attendant des investigations plus poussées [5]. Affaire à suivre ...
http://bible.archeologie.free.fr/archedalliance.html
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Libellés : arca alianza, arche alliance, ark covenance, Ethiopie, Etiopia
samedi 8 décembre 2007
Ars Goetia
Ars Goetia (en latín, probablemente: «El arte de la Brujería»), a menudo llamado simplemente Goecia, es la primera sección del grimorio del siglo XVII Lemegeton Clavicula Salomonis, o La Llave Menor de Salomón. Mucho del texto apareció más temprano, con algún material que data del siglo XIV o más temprano.
Descripción
El Ars Goetia contiene las descripciones de los setenta y dos demonios que se dice que el Rey Salomón dijo haber evocado y confinado en un recipiente de bronce sellado por símbolos mágicos, y que él obligó a trabajar para él. Hecho muy similar a lo que se dice que Sulaymán (Salomón) realizo en contra de los Ifrit («genio») rebeldes, según la tradición árabe y en el libro de Las mil y una noches.
El Ars Goetia da las instrucciones para construir un recipiente semejante de bronce, y a utilizar las fórmulas mágicas apropiadas para llamar seguramente a esos demonios. La operación dada es compleja, e incluye mucho detalle. Se cree que el «rugiente» título se refiere a los conjuros hechos por el mago. El Ars Goetia difiere de otros textos goéticos en que las entidades convocadas deberán ser forzadas a obedecer, antes de pedir por favores.
El Ars Goetia asigna un grado y un título de nobleza a cada miembro de la jerarquía infernal, y da los demonios «firmas a las que ellos tienen que pagar lealtad», o los sellos. Las listas de entidades en el corresponder de Ars Goetia (a alto pero variando el grado, a menudo según edición) con ésos en el Steganographia de Trithemius, hacia el año 1500, y el Pseudomonarchia Daemonum de Johann Weyer que un apéndice que aparece en ediciones posteriores de su De Praestigiis Daemonum, de 1563.
Los 72 demonios
Los nombres de los demonios (descritos más abajo) también son llamados o deletreados de diferentes formas en diversas copias existentes del Ars Goetia.
01. Rey Bael | 26. Duque Bune | 51. Rey Balam |
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Libellés : Ars Goetia, Salomon
Salomon, Hiram y Menelik

Salomón (llamado también Jedidías en el Tanaj, o Antiguo Testamento), fue el tercer y último rey de todo Israel, incluyendo el reino de Judá. Construyó el Templo de Jerusalén y fue célebre por su sabiduría, riqueza y poder, según la Biblia se le considera el hombre más sabio que ha existido en la Tierra. Se le atribuye la autoría del Cantar de los Cantares y también del libro de los Proverbios. Es el protagonista de muchas leyendas posteriores, y se le considera también uno de los maestros de la Cábala.
En la Biblia se dice del rey Salomón que:

Heredó un inmenso imperio conquistado por su padre el rey David que se extendía desde Nilo, en Egipto, hasta el río Éufrates, en Mesopotamia (1 Reyes 4:21; Gén. 15:18; Deut. 1:7,11:24; Jos. 1:4; 2 Sam. 8:3; 1 Crón. 18:3).
Tenía una gran riqueza y sabiduría (1 Reyes 10:23).
Administró su reino a través de un sistema de 12 distritos (1 Reyes 4:7).
Poseyó un gran harén, el cual incluía a "la hija del faraón" (1 Reyes 3:1; 1 Reyes 11:1,3; 1 Reyes 9:16).
Honró a otros dioses en su vejez (1 Reyes 11:1-2,4-5).
Consagró su reinado a grandes proyectos de construcción (1 Reyes 9:15,17-19).
El relato bíblico
Salomón fue el segundo de los hijos que tuvieron David y Betsabé. En la Biblia, el profeta Natán informa a David de que Dios ha ordenado la muerte a su primer hijo como castigo por el pecado del rey, quien había enviado a la muerte a Urías, marido de Betsabé, para casarse con su esposa (2Samuel 12:14) . Tras una semana de oración y ayuno, David supo la noticia de la muerte de su hijo, y consoló a Betsabé, que quedó embarazada de Salomón.
La historia de Salomón se narra en el Primer Libro de los Reyes, 1-11, y en el Segundo Libro de las Crónicas, 1-9. Sucedió a su padre, David, en el trono de Israel hacia el año 970 adC (1Reyes 6:1). Su padre lo eligió como sucesor, a instancias de Betsabé y Natán, aunque tenía hijos de más edad habidos con otras mujeres. Fue elevado al trono antes de la muerte de su padre, ya que su hermanastro Adonías se había proclamado rey.
Adonías fue más tarde ejecutado por orden de Salomón, y el sacerdote Abiatar, partidario suyo, fue depuesto de su cargo, en el que fue sustituido por Sadoc. Del relato bíblico parece deducirse que a la ascensión de Salomón al poder tuvo lugar una purga en los cuadros dirigentes del reino, que fueron sustituidos por personas leales al nuevo rey.
En la Biblia se destaca la sabiduría de Salomón, y se cita como ejemplo el llamado juicio de Salomón (1Reyes 3:16-28). También se destaca la prosperidad de su reino, que coincidió con el momento de mayor esplendor de la monarquía israelita. Salomón se rodeó de todos los lujos y la grandeza externa de un monarca oriental. Mantuvo en general la paz con los reinos vecinos, y fue aliado del rey Hiram I de Tiro, quien le auxilió en muchas de sus empresas. Consolidó el poder político de Israel en la región contrayendo matrimonio con una de las hijas del faraón del Antiguo Egipto Siamón.
Emprendió numerosas obras arquitectónicas, entre las que destaca por encima de todas la construcción del Templo de Jerusalén como lugar para la permanencia del arca de la Alianza (1Reyes 6), aunque destaca también la erección de un fabuloso palacio, en la que invirtió trece años, y obras públicas como la construcción de un terraplén que unía el templo con la ciudad de Jerusalén. En sus construcciones participó un gran número de técnicos extranjeros, como albañiles y broncistas de Tiro o carpinteros de Gebal. Entre todos ellos destaca el arquitecto Hiram (1Reyes 7:13-14), y se importaron lujosos materiales procedentes de Fenicia.
Durante su largo reinado de 40 años la monarquía hebrea tuvo su momento de mayor prosperidad económica. La seguridad interna y el control de las vías de comunicación facilitaron una amplia expansión del comercio hebreo. Se dice en la Biblia (1Reyes 9:28) que sus naves llegaron hasta Ofir, en algún lugar del Mar Rojo, donde cargaron 14.300 kilos de oro y el esplendor de su corte llamó la atención de la reina de Saba. Sin embargo, en la segunda mitad de su reinado, cayó en la idolatría, inducido por sus numerosas esposas extranjeras . De acuerdo con 1Reyes, 11:3 , "tuvo setecientas mujeres reinas y trescientas concubinas, y sus mujeres le desviaron el corazón." (1Reyes 11:3).
Este pecado fue, según la Biblia, la causa de que a su muerte se dividiera el reino de Israel. Jeroboam se rebeló y fue nombrado rey de diez de las doce tribus de Israel (todas excepto Judá y Benjamín). Como rey de estas dos últimas, con capital en Jerusalén, le sucedió su hijo Roboam, cuya madre era Naamá, ammonita.
Pero aunque cometio este pecado se arrepintio y luego escribe el libro de Eclesisatés para aconsejar a otros a que no siguieran su ejemplo. Alli menciona "vanidad de vanidades, todo es vanidad" y esto se refiere a su vida inicua. Salomón escribe este libro como un testimonio y ejemplo de que las cosas de este mundo no son duraderas.
Su presencia en otras culturas
* En la tradición de la Iglesia ortodoxa etíope, se señala que Salomón tuvo un hijo con la reina de Saba, llamado Menelik I, quien sería futuro rey de Etiopía; y quien la tradición dice que saco el Arca de la Alianza de Israel, llevándosela a su reino.
* En la tradición árabe y dentro del libro de las mil y una noches, se le conoce como Soleimán, hijo de Daud (Salomón, hijo de David), y es considerado el Señor de los Ifrit (genios).
Menelik I
Al volver, su madre lo nombró rey, convirtiéndose de esta forma en Menelik I, que proclamó al pueblo etíope "pueblo elegido de Dios".

Makeda, la reina de Saba, referida en los libros Reyes y Crónicas de la Biblia, el Corán, y en la historia de Etiopía, fue la gobernante de Reino de Saba, un antiguo reino en el que la actual arqueología presume que estaba localizado en el actual territorio de Etiopía y Yemen. Sin ser nombrada explícitamente en el texto bíblico, ella es llamada Makeda en la tradición de Etiopía, mientras que en la islámica es conocida como Bilqis (aunque no en el Corán). Otros nombres asociados a ella son Nikaule o Nicaula. Según algunos autores la reina de Saba tiene origen búlgaro.
Según el Antiguo Testamento, la anónima reina de la tierra de Saba acude a Israel habiendo oído de la gran sabiduría del rey Salomón, llevando regalos de especias, oro y piedras preciosas (1° Reyes 10:1-13,2º Crónicas 9:1-12). El episodio también aparece en el Corán, que tampoco menciona el nombre de la reina; según esta versión, la reina quedó tan impresionada por la sabiduría y las riquezas de Salomón que se convirtió al monoteísmo, entonando una alabanza al dios Yahvé; el rey entonces la recompensó con otorgarle "cualquier cosa que desease" con tal de que la reina volviese a su reino. La reina regaló 4,5 toneladas de oro al rey de Israel.
La Reina de Saba vuelve a aparecer en Mateo 12:42, así como en Lucas 11:31, en donde Jesús afirma que, el día del juicio universal, ella y los habitantes de Nínive se levantarán para condenar a los hebreos que los habían rechazado, pues "ella acudió desde los confines del mundo a alabar la sabiduría de Salomón".
En la tradición de la Iglesia ortodoxa etíope, se señala que Salomón tuvo un hijo con la reina de Saba, llamado Menelik I, quien sería futuro rey de Etiopía; y quien la tradición dice que sacó el Arca de la Alianza de Israel, llevándosela a su reino.
Otros indican que Menelik fue hijo del arquitecto del templo Hiram y precursor de los constructores.
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CIA World FactBook

The World Factbook
https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/index.html
Descargar el WFB
https://www.cia.gov/library/publications/download/download-2007/factbookb.zip
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Libellés : CIA, world factbook
dimanche 2 décembre 2007
Mas chistes Mas:.
P: ¿Cuántos Masones se necesitan para colocar un foco?
R: No se puede decir. Es secreto!!
TRIÁNGULO PARA UNA BOMBILLA
¿Cuántos Masones se necesitan para cambiar una bombilla?
PRINCIPIO CREADOR
En una Logia se iniciaba un nuevo Masón. El Venerable Maestro le indica al 2do Diacono indagar acerca de si el candidato creía en un Principio Creador, a lo cual éste contestó después de cumplir su cometido:
-Venerable Maestro, el candidato afirma que no cree.
-Volvedle a preguntar, Q:. H:. Experto. Insistió el Venerable
Maestro.
-(después de entrar y salir) Venerable Maestro, que no cree.
-Q:. H:. 2do Diacono, (abriéndole los ojos) le ruego indague bien.
-(después de volver a entrar y salir) Venerable Maes-tro, el candidato definitivamente no cree.
Entonces el Venerable Maestro llama al Diacono a su lado, y luego de explicarle al oído la situación, la calidad de los invitados y los preparativos de la masticación, le solicita que solucione el problema de la mejor manera posible.
El Experto abandona nuevamente el Taller y al rato vuelve y anuncia muy orgulloso en voz alta:
-¡Venerable Maestro, el candidato ya cree!
¡¡QUIÉN VA!!
Sucedió en una Ceremonia de Iniciación en la que se inciaba el sobrino
del Seg:. Vig:. de la Logia:
Seg:. Vig:. -i¡ A quién tenéis ahí!!
Candidato: -!!A mi Tío!!
GADU
Este era un Masón a quien le gustaba adornarse con gran pompa con Mandiles y Collarines vistosos, boto-nes de solapas relativos a Grados y Ritos, medallas Ma-sónicas recibidas a lo largo de sus continuos viajes por la Costa Atlántica en donde había fundado varias Logias, etc.
En una ocasión, después de una larga ausencia, visitó una Logia de su ciudad con tan mala suerte que llegó después de haberse iniciado los trabajos. Tocó con la batería del Primer Grado, y sucedió que al salir el Oficial res-pectivo (un Masón muy joven que no lo conocía) para ver quién tocaba, éste se impresionó con lo majestuoso de la vestimenta.
Al volver adentro, para notificar la llegada de un Her-mano que adivinaba importante, anunció muy orondo:
-Venerable Maestro y Queridos Hermanos todos, en el pórtico del Templo se encuentra un Querido Hermano Masón que a juzgar por los arreos que trae parece que se trata del Gran Arquitecto del Universo.
PUNTO DE VISTA
La esposa de un Masón al momento de verlo salir para su Aumento de Salario:
-Tú dices que vas a la Logia para un Aumento de Salario, pero viendo lo que te has gastado yo creo que vas es a una disminución de Salario.
CARIDAD
Un cartero, en su ruta, recogió una carta dirigida a Dios. Viendo que no estaba cerrada y como no tenía ninguna estampilla, la abrió y la leyó.
Era de un hombre que estaba pasando un momento difícil y pedía ayuda a Dios. La carta pedía 5000 dólares para que su familia pudiera pasar la semana. El cartero, que era Masón, llevó la carta a su Logia esa tarde, la leyó y pidió donativos para ese infortunado remitente.
Los Masones, queriendo ayudar, hicieron una colecta y reunieron 2.500 dólares entre todos. El Secretario puso el dinero en un sobre de la Logia y se lo dio al cartero para que lo despachara al día siguiente, lo que en efecto se hizo.
Pasaron un par de días, y el cartero volvió a encontrar un sobre sin cerrar en el buzón, dirigido a Dios. Una vez más, abrió el sobre y leyó la carta que agradecía a Dios por el dinero, pero le pedía que en otra ocasión le haga sus envíos por otra empresa de correos, porque los Masones se habían quedado con la mitad de lo solicitado.
FRATERNIDAD
Un médico y un plomero estaban en la misma Logia.
El domingo por la mañana, el médico se despertó con su baño tapado, así que llamó al plomero, el cual le contestó: <
El doctor le dijo: <
<
SIGILO
Un hombre estaba caminando por el parque de su zona cuando se percató que en la cancha vecina había una furiosa pelea.
-¿Qué está pasando?, preguntó a un espectador que miraba desde las graderías.
-Es un partido entre dos Grandes Logias.
-Ahh ... dijo el hombre. ¿Y en cuánto va el marcador?
-No sé, le dijo el otro, es un secreto que los jugadores han jurado guardar.
ESTUDIO
Un viejo Masón, mientras visitaba en su casa a un Hermano recién iniciado, su esposa lo llevó a un lado y le explicó que su esposo había comenzado a comportar-se de una manera extraña desde su incorporación a la Orden.
<
Cuando caía la tarde, en la Logia le preguntó cómo iba todo. <
Le preguntó entonces acerca de su comportamiento y si había algo de qué preocuparse. <
A LAS PUERTAS DEL CIELO
Un cansado anciano Masón, cuyo cabello ya estaba gris, llegó a las puertas del cielo cierto día.
Cuando le preguntaron qué era lo que más había hecho en la tierra. Respondió que su papel era ofrecer los brindis de la Logia a la que pertenecía.
San Pedro le dijo entonces. Mientras sacudía la cam-pana, <
EN EL CIELO
Cuentan que un Masón, Maestro de su Logia, llegó al Cielo y se
encontró con San Pedro, ante el cual se identificó como miembro de la
Orden.
Éste le preguntó:
-¿De qué Logia?
-Orgullosamente, respondió: "Fraternidad N° 1".
San Pedro le llevó entonces a la Sala de los Relojes Masónicos. El Maestro, asombrado, miró alrededor.
La sala estaba llena de relojes, cada uno con el nom-bre de una Logia en una placa de plata. Lo extraño es que cada reloj daba una hora diferente. Preguntó, en-tonces, por qué, y San Pedro le informó que las maneci-llas de cada reloj se movían solo cuando alguien de la Logia cometía un error en el ritual.
El Maestro preguntó, entonces, dónde estaba el reloj de su Logia, a lo que San Pedro respondió:
-Ah .. Ese está en la cocina.
-¿En la cocina? ¿Y por qué?
Por que ese lo usamos de ventilador.
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Le Trinosophe
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